Publié le : 21 février 20204 mins de lecture

Même pour un expert, le cavalier n’est pas à l’abri d’un réflexe inattendu du cheval. Le risque de glissement est des fois augmenté par l’étrier dans lequel un pied peut se bloquer. Les sauts d’obstacles est la principale origine de chutes à cheval. Bien sûr, l’équitation est un sport extraordinaire mais il ne faut pas sous-estimer les dangers qu’elle présente. Notamment, sans la présence d’un autre cavalier expérimenté ou même sans le port d’une bombe,  il est conseillé de ne pas galoper, et si faisable, sur un cheval dont on sait les possibilités et les réactions. Même après  ça vous ne croyez pas que l’équitation est un sport dangereux ? Alors, voici les dangers qu’elle peut présenter.

D’abord, il y a les traumatismes

En effet, les accidents sont rares mais les effets sont habituellement sérieux. À cause du contact direct avec le cheval et des risques de chutes, on dit que l’équitation  est un sport dangereux. Et en cas de chutes, les traumatismes de la clavicule, du thorax et crâniens s’avèrent être très fréquents. Autrement, il existe aussi des imprévus quand le cavalier se trouve à côté de son cheval mais non dessus, comme bousculade, morsure, coup de pied,… Pour cela, des simples mesures de sécurité sont à adapter. Par exemple, toujours ôter les couvertures en débutant par l’arrière et en finissant par l’avant, s’informer quand vous approchez par un angle mort, ne pas rester ou circuler derrière un cheval, et pour ne pas se faire mordre, il ne faut pas passer trop près des box. Il y a aussi des matériels qui peuvent diminuer les dangers : le casque, un gilet de protection (diminue la gravité de l’accident en cas de chute), des étiers de sécurités (dont les pieds ne peuvent pas rester bloqués), et des étrivières (qui se décollent plus rapidement).

Puis, les douleurs musculaires

Pour éviter les douleurs et les blessures musculaires, l’équitation exige un bon échauffement. Les muscles sont autant le récif de prises variées, spécialement les abducteurs des cuisses. Un cavalier qui souffre des contractures, d’un claquage, et d’une rupture des ligaments croisés du genou est rare. Ces-derniers effleurent principalement les adeptes de sports prétendant des appuis au sol. Notamment, les risques de douleurs dorsales, de tendinites aux poignets et de pubalgie se présentent souvent à cause de la position sur le cheval.

Lombosciatiques, lumbagos, lombalgies

Ces pathologies sont collectives à l’assortiment de tous les pratiquants sportifs mais pas uniquement à l’équitation. Cependant, le manque d’échauffements avant les étirements et les séances en maintiennent le nombre. Ces éléments attaquants sont les suivants : discopathie dégénérative, hyperlordose lombaire préexistante, exercices violents (en particulier le saut), et l’intensité de la pratique.

À cheval ou à pied, il faut toujours faire attention à tout moment.